Vous vous sentez apte à conduire, et vous avez même le sentiment d’être un bon conducteur. Votre moniteur auto-école le confirme et vous le prouve, une fois que vous avez réalisé le nombre d’heures de conduite suffisant, en vous inscrivant à l’examen. Mais le jour J, c’est toujours différent, il y a certaines situations encore jamais expérimentées, qui ajoutées au stress de l’examen, peuvent vous faire perdre vos moyens et échouer. Voici quelques conseils pratiques.

échange de permis genève
Source : http://my-ds.ch/index.php/fr/

L’insertion sur autoroute

C’est assez effrayant au début d’entrer sur l’autoroute, alors que vous roulez à 70 km/h, et que les voitures déjà présentes sur l’autoroute sont à 130 km/h. Avec l’habitude ça va tout seul : tant que vous roulez sur la bretelle d’accès vous faites un rapide point sur l’état de la circulation, et une fois arrivé sur la voie d’accélération, vous devez bien vérifier dans votre rétroviseur si vous avez suffisamment de place disponible pour vous engager sur l’autoroute, tout en accélérant pour parvenir à être proche de la même vitesse que les autres voitures déjà sur la file que vous souhaitez emprunter.

Le rond-point

En fonction de l’état de la circulation, le rond-point est un des exercices les plus difficiles à gérer au début, qui est d’ailleurs systématiquement présent lors de l’examen pour obtenir le permis de voiture à Genève (http://my-ds.ch/index.php/fr/). Vous arrivez sur la ligne pointillée mais de nombreuses voitures sont déjà engagées dans le rond-point. Vous êtes donc au point mort. Il faut parvenir à estimer le temps que va mettre le prochain véhicule engagé pour savoir si vous aurez le temps de passer ou non. Pour gagner de la distance, il faut démarrer dès que la voiture engagée est en train de passer devant vous et accélérer franchement, sans caler… !
Pour être un bon conducteur il n’y a rien de mieux que la pratique et l’expérience. Et c’est encore mieux si vous assistez aux cours de premier secours à Genève)